Animaux de Nouvelle-Zélande : les espèces emblématiques à observer lors d’un voyage

Vous avez prévu un séjour en Nouvelle-Zélande et vous avez envie de découvrir la faune locale ? Terre des oiseaux et royaume des cétacés, le pays des Kiwis promet de belles rencontres à tous les amoureux des animaux. Mais alors, quels sont les animaux emblématiques à voir lors d’un voyage en Nouvelle-Zélande ? Suivez le guide…

En résumé :

Les mammifères terrestres à voir en Nouvelle-Zélande

Des mammifères rares et non endémiques

Aussi étonnant que cela puisse paraître, les animaux terrestres n’ont pas la part belle sur le règne animal de Nouvelle-Zélande. 

En effet, en dehors de deux espèces de chauve-souris (la chauve-souris à longue queue et la petite chauve-souris à queue courte), aucun mammifère terrestre n’est endémique du pays. En effet, la plupart des mammifères rencontrés sur les terres ont été importés sur l’île au cours de l’histoire. C’est le cas des sangliers et cochons sauvages, des cerfs, des rats, des belettes, des fouines et autres carnassiers du sol forestier qui sont tous arrivés avec les colons maoris puis européens.

Parmi les animaux importés en Nouvelle-Zélande, l’un d’eux est devenu une espèce tout aussi emblématique que controversée : 

Le possum (possum a queue en brosse)

Avec son adorable frimousse, il est difficile à croire qu’il fait partie des principaux ennemis du pays. Le possum à queue en brosse (ou Phalanger-renard) est une espèce de petits marsupiaux arboricoles originaire d’Australie. Doté d’une magnifique fourrure dont une queue préhensible touffue, il fut introduit en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle pour développer le commerce de sa fourrure. 

Le hic ? Le possum (à ne pas confondre avec l’oppossum que l’on retrouve en Amérique du Nord et du Sud) s’est rapidement proliféré et n’ayant pas de prédateurs hormis l’homme, il est devenu le nuisible à abattre. Pourquoi ? Parce que :

• il se nourrit de feuilles et de fruits et empêche ainsi la croissance d’arbres indigènes,

• il transmet la tuberculose bovine,

• il dévore un grand nombre d’œufs et d’oisillons issus d’espèces endémiques comme le kéa, le kākāpō ou le kiwi,

• il constitue un concurrent redoutable pour la nourriture et l’habitat des espèces locales. 

Vous l’avez compris, si le possum est devenue une espèce à abattre, c’est parce qu’il perturbe grandement les différents écosystèmes. Face à ce constat, les autorités le traquent et investissent dans des programmes de contrôle intensif : piégeage, appâts empoisonnés, abattage... L’objectif à long terme est même de l’éradiquer entièrement d'ici à 2050 (programme "Predator Free 2050").

Les oiseaux emblématiques à voir en Nouvelle-Zélande

Avant même que l'homme ne pose le pied en Nouvelle-Zélande, les oiseaux régnaient en maître à travers le pays. Bien que de nombreuses espèces soient menacées aujourd’hui, les oiseaux représentent parfaitement la richesse de la faune locale. 

Le kiwi, l’icône nationale

Espèce endémique de Nouvelle-Zélande, le kiwi est considéré comme l’icône nationale, à tel point que les locaux préfèrent s’appeler les « kiwis » plutôt que les « New Zealanders ». Aussi gros qu’une poule, le kiwi se caractérise par de petits yeux et un long bec doté de narines à l’extrémité. Ses ailes réduites à des moignons ne lui permettent pas de voler, ce qui en fait une proie idéale pour les prédateurs. Néanmoins, il se déplace en trottinant et peut se montrer très rapide en cas de menace.

Malheureusement, c’est une espèce menacée qu’il est difficile d’observer. En plus d’être de plus en plus rare, le kiwi est un animal timide qui vit principalement la nuit. Pour tenter de l’apercevoir dans son milieu naturel, il est recommandé de se munir d’une lumière rouge et de se montrer discret. 

Le wéka

Le weka (ou Râle wéka) est un oiseau terrestre endémique de Nouvelle-Zélande. On le confond régulièrement avec le kiwi en raison de leur apparence similaire. De la taille d’un poulet, il possède un corps trapu au plumage brun beige strié de noir et d’un long bec distinctif. Tout comme le kiwi, il ne sait pas voler, mais constitue un excellent nageur et à la différence de ce dernier, c’est un oiseau diurne et très curieux. 

Contrairement au kiwi, le wéka est facilement observable. C’est un oiseau audacieux qui n’hésite pas à s’approcher des campeurs et des promeneurs. Il lui arrive même de les suivre. Il est connu pour être attiré par les objets brillants.

Le kākāpo 

Aussi appelé perroquet-hibou, le kakapo est une espèce nocturne de perroquets endémique en Nouvelle-Zélande. Pouvant atteindre une taille de 60 cm et un poids de 4 kg, c’est le plus lourd perroquet au monde. Il a aussi la particularité d’être le seul perroquet non-volant du monde et d’être l'un des oiseaux ayant la plus longue espérance de vie du monde (environ 90 ans). Outre sa grande taille, le kākāpo est aisément reconnaissable par son plumage jaune-vert marbré. 

Hélas, il est quasiment impossible de voir un kākāpo à l’état sauvage. Et pour cause, c’est une espèce en danger critique d’extinction. Il a failli disparaître en raison de la colonisation polynésienne et européenne et de l'introduction de prédateurs tels que le chat ou le rat.

Le Kéa (ou nestor kéa)

Voilà encore une espèce de perroquet aux attributs inhabituels. En effet, le kéa est le seul perroquet alpin au monde. Il s’agit d’une espèce de perroquets montagnards, endémique de l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande (on ne les trouve nulle part ailleurs). Ce perroquet, de couleur vert olive et rouge à l’intérieur des ailes, doit son nom à son cri puissant : « keee-aa ».

Capable de résoudre des énigmes et d’utiliser des outils, il est considéré comme l’un des oiseaux les plus intelligents au monde. Il est aussi connu pour son tempérament joueur et voleur : on le voit souvent arracher les joints en caoutchouc des voitures et ouvrir des sacs à dos pour dérober des objets brillants.

Le Tūī 

Aussi connu sous les noms de Méliphage Tui et Tui cravate-frisée, le Tūī est une espèce de passereau endémique de Nouvelle-Zélande. Mesurant environ 30 cm de long, il dispose d’un plumage bleu-vert irisé avec des taches marrons-noires au niveau des ailes et deux touffes de plumes blanches sous le cou.

S’il fait partie des oiseaux emblématiques de Nouvelle-Zélande, c’est en raison de son chant. En effet, il est capable d’imiter de nombreux sons : aussi bien des chants d’autres oiseaux que des sonneries de téléphone ou que la voix humaine ! Si vous entendez un cri robotique ou grinçant semblable à celui du célèbre robot de Star Wars R2D2, il y a de fortes chances pour que ce soit lui !

Le Pūkeko 

Pūkeko est le nom néo-zélandais de la talève sultane. C’est un oiseau commun et l’un des rares oiseaux indigènes qui a su s’adapter aux changements environnementaux. Surnommés les « faisans bleus » ou les « poules des marais », ils vivent dans les marais et zones humides du pays. On les observe aussi bien dans les pâturages et les terres agricoles que dans les zones humides ou encore le long des routes marécageuses.

On les reconnaît facilement grâce à leur plumage bleu-violet brillant sur le poitrail et le ventre et noir sur le dos ainsi que leur bec rouge vif. Il tient une place importante dans la culture maorie, dans laquelle il revêt de nombreuses symboliques.

Le kererū (wood pigeon)

Le kererū (nom maori du carpophage de Nouvelle-Zélande ou wood pigeon en anglais) est une espèce de pigeon endémique de Nouvelle-Zélande. C’est la seule espèce de pigeon du pays et l’un des plus grands pigeons du monde. Il se caractérise par un plumage bleu-vert irisé, une poitrine blanche éclatante et un bec rouge. 

Contrairement à nos pigeons qui vivent en milieu citadin, le kererū est un oiseau forestier en Nouvelle-Zélande. On le repère facilement par ses couleurs, mais aussi par le son distinctif de son battement d'ailes. 

L’albatros Royal

Avec une envergure pouvant atteindre jusqu’à 3 m, l’albatros royal fait partie des plus grands oiseaux marins du monde. Il est marqué par un plumage blanc avec des ailes noires qui ont tendance à s’éclaircir avec l’âge jusqu'à devenir totalement blanches à l'exception des extrémités. Il possède un bec rose pâle, long, épais avec une pointe crochue.

C’est un oiseau fascinant à observer, notamment en vol. Ce sont d’excellents planeurs : ils sont capables de parcourir des milliers de kilomètres sans battre des ailes. Ils sont connus pour être très fidèles puisqu’ils sont monogames : ils forment un couple pour la vie après des années de parades nuptiales et reviennent toujours au même endroit pour la nidification.

Les manchots 

On peut observer plusieurs espèces de manchots en Nouvelle-Zélande dont voici les principales :

Le manchot à œil jaune 

Cette espèce endémique très menacée constitue l’un des rares manchots solitaires et l’un des plus rares manchots au monde. On le reconnaît par son plumage noir-gris foncé sur le dos, son ventre blanc et sa tête jaune pâle avec des yeux jaunes caractéristiques. C’est un manchot très discret qui niche en forêt et préfère être reclus plutôt qu’être dans de larges colonies. Il s’observe plus facilement en fin de journée, durant la période de nidification (entre octobre et mars).

Le manchot pygmée (ou petit manchot bleu)

Caractérisé par différentes variations de bleu indigo sur le dos, la tête et les ailes et un ventre blanc, le manchot pygmée (aussi appelé petit manchot bleu) est la plus petite des espèces de manchots au monde. Cette espèce nocturne, vit dans des terriers, quitte la terre pour la mer avant le coucher du soleil et ne revient que lorsqu’il fait noir pour éviter les prédateurs.

Le Gorfou du Fiordland 

Le Gorfou du Fiordland est une espèce rare et endémique du sud-ouest de l'île du Sud de Nouvelle-Zélande. D’une taille moyenne, il dispose d’un plumage noir-blanc. Appartenant au genre Eudyptes, il se distingue par une aigrette jaune pâle en forme d’arc au-dessus des yeux. Très discret, il niche dans des forêts humides ou grottes rocheuses proches des cascades.

Le Gorfou des Snares

Tout comme l’espèce précédente, le Gorfou des Snares se reconnaît facilement par sa crête jaune caractéristique. Sa tête, ses joues, sa gorge et son dos sont noirs tandis que son ventre est blanc. Une tâche de peau rose (sans plume) à la base du bec les distingue des gorfous des Fjordland. C’est une espèce endémique de l’archipel des Snares (au sud de l'île du Sud) : on ne les trouve nulle part ailleurs.

Le Gorfou huppé

Le gorfou huppé appartient également au genre Eudyptes. Mais contrairement aux autres espèces, c’est la seule dont l’aigrette est complètement droite et ne retombe pas sur les yeux (d’où son nom). Il possède une tête, une partie supérieure de la gorge et des joues noires et un dos allant du noir bleuâtre au noir. Il est présent dans les îles subantarctiques rattachées à la Nouvelle-Zélande (île Campbell, île Antipodes, île Auckland).

Les animaux marins incontournables à voir en Nouvelle-Zélande

Les amoureux des créatures marines seront émerveillés lors d’un voyage en Nouvelle-Zélande. Et pour cause, le pays se situe dans le quatrième plus grand territoire marin du monde. Connu pour être un leader mondial en matière de protection des mammifères marins, on estime que près de la moitié des espèces de baleines du monde vivent dans les eaux néo-zélandaises. 

Les cétacés (baleines, dauphins...)

Le cachalot

Pouvant atteindre jusqu’à 18 m de long, le cachalot se caractérise par une grosse tête qui représente près du tiers du corps de l’animal. Son corps gris foncé ou noir avec quelques taches sur le ventre ne possède pas de nageoire dorsale, mais une série de crêtes sur le tiers postérieur du dos. Il est connu pour détenir le plus gros cerveau du règne animal et pour être capable de plonger jusqu’à 3000 m de profondeur.

Le cachalot constitue une espèce résidente en Nouvelle-Zélande : on peut le voir toute l’année, bien que les observations soient plus nombreuses entre septembre et avril.

Le rorqual de Bryde

Mesurant jusqu’à 15 m de long, le rorqual de Bryde se distingue des autres espèces par la présence de trois crêtes longitudinales sur le dessus du rostre. Il est de couleur gris-bleu sur le dos et blanc jaunâtre au niveau du ventre. 

Le rorqual de Bryde est l'une des rares espèces de baleines présentes toute l'année en Nouvelle-Zélande, notamment dans les eaux subtropicales de l'île du Nord. Rapide et relativement discret, on le rencontre fréquemment, mais les observations sont plus nombreuses entre les mois de novembre et avril.

La baleine à bosse

La baleine à bosse est l’une des espèces de cétacés les plus spectaculaires à observer en Nouvelle-Zélande. Offrant un spectacle hors du commun aux amoureux des animaux, (chants mélodieux complexes, sauts spectaculaires, frappes de nageoires, claquements de queue...), elle fait partie des cétacés les plus prisés pour le whale watching (observation des baleines). Elle possède de longues nageoires pectorales bordées de bosse, d’un corps noir ou gris foncé avec un ventre blanc et d’une large queue en éventail.

Les eaux de Nouvelle-Zélande font partie du parcours migratoire des baleines à bosse. Ces dernières remontent vers le nord entre juin et août et migrent vers l’Antarctique entre septembre et novembre.

La baleine franche australe

La baleine franche australe est une espèce rare et emblématique de l’hémisphère sud. Elle a longtemps été chassée, mais fait un retour progressif dans les eaux néo-zélandaises. Pouvant atteindre 18 m de long, elle se reconnaît par sa tête très large qui dispose de cornes de calosités (zones rugueuses blanches ou grisâtres sur la tête). 

Contrairement aux cachalots ou aux baleines à bosse, les baleines franches sont souvent visibles depuis la côte, sans excursion en mer. Elles sont très calmes et restent généralement proches de la surface. 

On peut les voir durant l’hiver austral (entre juin et septembre), période durant laquelle les femelles viennent mettre bas près des côtes et y restent plusieurs semaines pour élever leurs petits.

L’Orque (Épaulard)

Les orques (ou épaulards) figurent parmi les prédateurs marins les plus impressionnants. Ils sont d’ailleurs au sommet de la chaîne alimentaire : ils sont capables de s’attaquer à des dauphins, des phoques et même des baleines ! Pouvant mesurer jusqu’à 9 m de long, ils constituent le plus grand membre des Delphinidés, la même famille que les dauphins. 

En Nouvelle-Zélande, ils sont présents toute l’année, mais leur observation reste aléatoire, car ils parcourent de vastes distances. 

Le Dauphin d’Hector (Céphalorhynque d’Hector)

Le dauphin d’Hectorest une espèce endémique de la Nouvelle-Zélande. Il s’agit du plus petit dauphin au monde (il mesure entre 1,2 et 1,5 m de long). Reconnaissable par sa silhouette trapue de couleur gris clair avec un ventre blanc, il possède une nageoire dorsale arrondie en forme « d’oreille de Mickey ». C’est l’une des espèces de cétacés les plus menacées au niveau mondial.

Cette espèce côtière s’observe toute l’année. Elle évolue souvent dans moins de 100 m de profondeur et se montre très active et curieuse. On la voit fréquemment, en petits groupes de 2 à 8 individus, faire des acrobaties à côté des bateaux.

Le Dauphin obscur (Lagénorhynque obscur)

Le dauphin obscur, aussi appelé dusky dolphin, est l’un des dauphins les plus acrobatiques et sociables du monde. Il possède un dos gris foncé à noir, des flancs gris clair à blanc et un ventre blanc, souvent avec des bandes latérales courbées. Sa coloration donne l’impression que sa peau est marbrée. 

En Nouvelle-Zélande, c’est une espèce très répandue toute l’année, surtout dans les eaux froides de l’île du Sud, où il est relativement facile à observer. Très joueur, on le voit effectuer des sauts et des vrilles et parfois même du surf sur les vagues et les sillages des bateaux. Il vit en très grands groupes pouvant compter jusqu’à une centaine d’individus.

À noter qu’on trouve aussi régulièrement des Grands dauphins ainsi que des Dauphins communs à bec court dans les eaux new-zélandaises.

Les pinnipèdes (phoques, otaries...)

Outre ses cétacés, les eaux de Nouvelle-Zélande sont connues pour abriter de nombreuses espèces de pinnipèdes, c’est-à-dire des mammifères marins, semi-aquatiques, aux pattes en forme de nageoires.

L’otarie à fourrure de Nouvelle-Zélande 

L’otarie à fourrure de Nouvelle-Zélande, également appelée kekeno en māori, est l’un des mammifères marins les plus emblématiques du pays. Cette espèce se caractérise par un pelage brun à gris foncé, avec un sous-poil dense et imperméable, une tête avec un museau pointu et des moustaches blanches ainsi que des nageoires longues et puissantes.

Autrefois chassée presque jusqu’à l’extinction, cette espèce a connu un remarquable retour et est aujourd’hui largement observable sur les côtes rocheuses de l’île du Sud et de certaines parties de l’île du Nord. Très agile, l’otarie à fourrure de Nouvelle-Zélande est capable de grimper sur des roches escarpées.

L’éléphant de mer du Sud 

L’éléphant de mer du Sud (ou éléphant de mer austral) est le plus grand pinnipède au monde (jusqu’à 6 m de long et un poids de 4 tonnes chez les mâles) et un visiteur spectaculaire, bien que peu fréquent, des côtes néo-zélandaises. Il tient son nom en raison du groin allongé en forme de trompe que possèdent les mâles. 

Cette espèce, habituellement associée aux îles subantarctiques, n’a pas de colonies permanentes sur les îles principales de la Nouvelle-Zélande, mais des individus solitaires y sont parfois observés, notamment sur les plages du sud.

Le léopard des mers

Ce pinnipède impressionnant est reconnaissable à sa tête reptilienne, sa mâchoire puissante et son pelage moucheté à qui il doit son nom. Le léopard des mers est connu pour être extrêmement puissant et féroce. Contrairement à d’autres espèces, la femelle est bien plus imposante que les mâles et peuvent atteindre jusqu’à 3,80 m et peser jusqu’à 500 kg.

C’est l’un des plus redoutables prédateurs marins de l’Antarctique. Il est présent en Nouvelle-Zélande de façon saisonnière (durant l’hiver austral, de juin à septembre), principalement sur les côtes du sud de l’île du Sud et dans les îles subantarctiques.

Et les requins ?

Y a-t-il des requins en Nouvelle-Zélande ? Si vous vous posez cette question, sachez que les eaux du pays abritent de nombreuses espèces de requins parmi lesquelles on peut citer :

• Le requin pèlerin,

• Le requin blanc,

• Le requin Mako,

• Le requin-taupe commun (ou Maraîche ou requin marsouin),

• Le requin citron,

• Les requins de récif (à pointe noire ou blanche...)

Besoin d’aide pour organiser votre voyage en Nouvelle-Zélande et partir à la rencontre des animaux emblématiques du pays ? Parlons-en !

En attendant, trouvez l’inspiration avec nos trois circuits axés sur la faune et la flore new-zélandaise :

• Circuit Splendeurs du Sud de la Nouvelle-Zélande

• Séjour de 18 Jours d’Aventure en Nouvelle-Zélande

• Circuit Nouvelle-Zélande en liberté – L’essentiel des deux îles en 18 jours